MÉLOMANE – AMÉRIQUE
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Philip Glass, né le 31 janvier 1937 à Baltimore dans le Maryland, est un musicien et compositeur américain de musique contemporaine. Il est considéré comme l’un des compositeurs les plus influents de la fin du XXe siècle1,2,3,4,5. Il est, avec ses contemporains Terry Riley et Steve Reich, l’un des pionniers et l’un des représentants les plus éminents de la musique minimaliste, notamment de l’école répétitive6, et de la musique classique des États-Unis.
Si ses premières œuvres (jusqu’en 1974) sont typiquement répétitives et minimalistes, elles montreront, par la suite, une évolution stylistique7,8. Il préfèrera utiliser, pour les œuvres suivantes, l’expression « musique avec structures répétitives »9, indiquant que l’aspect répétitif n’est plus prépondérant. Ses dernières œuvres sont très éloignées du courant minimaliste et, actuellement, il se décrit lui-même comme un compositeur classique, rompu à l’harmonie et au contrepoint, ayant étudié Jean-Sébastien Bach, Ludwig van Beethoven et Franz Schubert10.
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La celliste aux pieds nus, la compositrice contemporaine au bras de gothique, l’image est trop parfaite et laisse supposer une dose de calcul.
Pourtant il n’en est rien, car disque après disque Julia Kent creuse son sillon avec une constance jamais prise en défaut, loin des songwriters à qui elle prêta main forte aux côtés de Joan Wasser. Une musique simple et répétitive, au sens des maîtres américains, Philip Glass en tête car il fut le premier du lot à rejoindre le camp de la mélodie.
C’est là que Kent évolue. La corde raide, on comprend mieux pourquoi ces pieds nus qui aident la silhouette gracile à rester suspendue. A mi-chemin de la répétition et la « composition ». Au-dessus du vide, car il aspire l’oreille de l’auditeur comme le regard du funambule.
Le vide. Et le soupçon se déplace. Ces boucles maîtrisées, ces ambiances taillées pour le public ecclectique, moderne, crossover, dégagent une impression de facilité. C’est le faix du genre. C’est ce qui, malgré les innombrables écoutes de ses disques précédents, Delay, Last day in July, nous a fait repousser encore et encore cet article.
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Roberto Fonseca est un musicien de Jazz né à La Havane en 1975. Depuis son plus jeune âge, Roberto Fonseca a été bercé par la musique. Son père était batteur ; sa mère, Mercedes Cortes Alfaro, chanteuse professionnelle. Quant à ses deux demi-frères – Emilio Valdés (percussions) et Jesùs « Chuchito » Valdés Jr. (claviers) – ils sont eux aussi des musiciens.
Son premier album (En El Comienzo), qu’il a enregistré avec Javier Zalba et le groupe Temperamento, s’est vu décerné le prix du “Cuba’s Best Jazz Album” (Meilleur Album de Jazz Cubain) en 1999. Ce succès l’encouragea à travailler sur deux albums solos (Tiene Que Ver et Elengo), en combinant le jazz latin, les percussions, la basse, le hip-hop, la musique urbaine et les rythmes afro-cubains.
En 2001, Roberto Fonseca se rend au Japon pour enregistrer son album No Limit : Afro Cuban Jazz. La même année, il intègre le célèbre Buena Vista Social Club aux côtés d’artistes de renom tels que Rubén González, Ibrahim Ferrer, Cachaito, Guajiro Mirabal et Manuel Galban.
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D’origine américaine, danseuse, artiste complète, musicienne, Gabrielle Roth se définit comme une « chamane des villes ». Elle a trouvé sa voie à Esalen en Californie dans les années 60, où elle a côtoyé Fritz Perls, Gregory Bateson, etc.
Après de longues années d’étude et observation des relations humaines et des principes naturels et universels qui régissent la vie et se révèlent à travers la danse, et elle a découvert que la danse à son tour nous révèle à nous-même. Elle a créé la Danse des 5 Rythmes, une méthode de danse extatique et pratique psychocorporelle à partir de 5 rythmes fondamentaux. Les cinq rythmes – fluide, staccato, chaos, lyrique et calme – se succèdent pour former une vague continue.
Cette méthode, qui inclut les dimensions corporelle, émotionnelle, mentale et spirituelle, est un puissant outil de développement personnel. C’est une forme de méditation par le mouvement qui vise à établir un équilibre entre corps et esprit. Connue dans le monde entier, elle est très appréciée par les animateurs de stages, les formateurs et les thérapeutes.
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Né le 20 mai 1935 à Campo Santo (Argentine)
Comptant parmi les représentants les plus connus en Europe de la musique argentine, Dino Saluzzi doit sa présence dans les festivals de jazz à ses rencontres avec quelques-uns des musiciens les plus notoires du genre. Profondément attaché aux traditions de son pays, il s’est inspiré de ces échanges pour imaginer une musique qui, parallèlement au « tango nuevo » d’Astor Piazzolla, emprunte autant au passé qu’elle s’émancipe des schèmes anciens tout en conservant une forte dimension expressive.
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